Eya Rziga
AFRIQUE – À l’approche du Sommet des dirigeants du G20 prévu du 22 au 23 novembre 2025 en Afrique du Sud, le continent africain s’organise pour définir sa propre vision d’une gouvernance de l’intelligence artificielle (IA) éthique, inclusive et adaptée à ses réalités.
L’objectif est clair : s’assurer que l’Afrique soit un acteur à part entière dans les discussions mondiales sur l’IA, et non un simple spectateur ou consommateur de technologies développées ailleurs.
Un dialogue panafricain pour définir les priorités
Le Conseil Économique, Social et Culturel de l’Union Africaine (ECOSOCC) a récemment organisé un dialogue de haut niveau.
Cet événement a réuni des experts, des décideurs politiques et des représentants de la société civile pour forger une position africaine unifiée. Les discussions ont permis d’identifier des priorités clés qui seront portées sur la scène internationale :
- Gouvernance démocratique de l’IA : Insister sur la nécessité que les cadres réglementaires soient transparents, participatifs et alignés sur les principes africains d’équité et de responsabilité.
- Équité et justice climatique : S’assurer que le développement de l’IA contribue à la résolution des défis climatiques spécifiques à l’Afrique et ne creuse pas les inégalités existantes.
- Inclusion linguistique et culturelle : Promouvoir le développement de modèles d’IA qui intègrent les langues locales et les nuances culturelles africaines, garantissant ainsi leur pertinence et leur accessibilité pour tous les citoyens.
L’Initiative « AI in Africa » : Un plan d’action concret
Le Sommet du G20, qui se tiendra pour la première fois sur le sol africain, sera l’occasion de lancer officiellement l’Initiative AI in Africa.
Ce plan d’action vise à mettre en œuvre la Stratégie Continentale de l’IA de l’Union Africaine, qui repose sur plusieurs piliers :
- Accès aux données et capacité de calcul : Investir dans les infrastructures nécessaires, comme les centres de données et les services GPU-as-a-Service, pour permettre l’innovation locale.
- Développement des compétences : Combler le déficit de talents en IA grâce à des programmes de formation massifs et ciblés.
- Sécurité éthique : Établir des cadres solides pour garantir que l’IA soit utilisée de manière responsable et bénéfique pour la société.
AFRIQUE – À l’approche du Sommet des dirigeants du G20 prévu du 22 au 23 novembre 2025 en Afrique du Sud, le continent africain s’organise pour définir sa propre vision d’une gouvernance de l’intelligence artificielle (IA) éthique, inclusive et adaptée à ses réalités.
L’objectif est clair : s’assurer que l’Afrique soit un acteur à part entière dans les discussions mondiales sur l’IA, et non un simple spectateur ou consommateur de technologies développées ailleurs.
Un dialogue panafricain pour définir les priorités
Le Conseil Économique, Social et Culturel de l’Union Africaine (ECOSOCC) a récemment organisé un dialogue de haut niveau. Cet événement a réuni des experts, des décideurs politiques et des représentants de la société civile pour forger une position africaine unifiée. Les discussions ont permis d’identifier des priorités clés qui seront portées sur la scène internationale :
- Gouvernance démocratique de l’IA : Insister sur la nécessité que les cadres réglementaires soient transparents, participatifs et alignés sur les principes africains d’équité et de responsabilité.
- Équité et justice climatique : S’assurer que le développement de l’IA contribue à la résolution des défis climatiques spécifiques à l’Afrique et ne creuse pas les inégalités existantes.
- Inclusion linguistique et culturelle : Promouvoir le développement de modèles d’IA qui intègrent les langues locales et les nuances culturelles africaines, garantissant ainsi leur pertinence et leur accessibilité pour tous les citoyens.
L’Initiative « AI in Africa » : Un plan d’action concret
Le Sommet du G20, qui se tiendra pour la première fois sur le sol africain, sera l’occasion de lancer officiellement l’Initiative AI in Africa. Ce plan d’action vise à mettre en œuvre la Stratégie Continentale de l’IA de l’Union Africaine, qui repose sur plusieurs piliers :
- Accès aux données et capacité de calcul : Investir dans les infrastructures nécessaires, comme les centres de données et les services GPU-as-a-Service, pour permettre l’innovation locale.
- Développement des compétences : Combler le déficit de talents en IA grâce à des programmes de formation massifs et ciblés.
- Sécurité éthique : Établir des cadres solides pour garantir que l’IA soit utilisée de manière responsable et bénéfique pour la société.
L’Afrique « à la table » des discussions mondiales
Les dirigeants africains soulignent la nécessité de cadres réglementaires alignés sur leurs propres principes. Comme l’a déclaré un participant au dialogue de l’ECOSOCC, l’objectif est de s’assurer que l’IA soit une force de prospérité partagée, et non un outil d’exclusion.
En définissant proactivement son agenda de gouvernance de l’IA, l’Afrique démontre sa volonté de co-créer l’avenir numérique mondial et de veiller à ce que l’innovation technologique profite à l’ensemble de ses populations.
Les dirigeants africains soulignent la nécessité de cadres réglementaires alignés sur leurs propres principes. Comme l’a déclaré un participant au dialogue de l’ECOSOCC, l’objectif est de s’assurer que l’IA soit une force de prospérité partagée, et non un outil d’exclusion.
En définissant proactivement son agenda de gouvernance de l’IA, l’Afrique démontre sa volonté de co-créer l’avenir numérique mondial et de veiller à ce que l’innovation technologique profite à l’ensemble de ses populations.
